dimanche 28 juillet 2013

L'explosif secret Huma Abedin. Ou: chronique des USA infiltrés par l'islam



Les médias ignorent les liens islamistes de Huma Abedin, la femme d'Anthony Weiner, candidat démocrate aux élections de 2014 à la mairie de New York .


Ne pas croire que cette histoire ne doit pas nous intéresser puisqu'elle se passe de l'autre côté de l'Atlantique. Bien au contraire, elle nous concerne en premier lieu, ce qui se passe aux Etats-Unis se passe également de manière encore plus sournoise et plus obscure en Europe, particulièrement en France, en Angleterre, en Allemagne, en Belgique ou dans les pays scandinaves. Pour comprendre encore toute l'importance que revêt cette affaire si on la transpose à l'Europe, juste un rappel des chiffres: les musulmans des Etats-Unis sont moins de 3 millions, ce qui représente ... moins de 1% de la population totale. Alors que dans certains pays d'Europe, la population est proche ou dépasse les 10 %. Donc non seulement l'Europe n'est pas à l'abri de l'infiltration musulmane par tous ses services, y compris les plus stratégiques, mais elle est bien plus en danger que ne le sont les USA, malgré les 2 investitures d'Obama le musulman.
Donc, SVP, prenez le temps de lire cet article et transposez-le à l'Europe, vous comprendrez que plus nous attendons, plus nous courrons le risque de plusieurs guerres civiles terribles.
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L'article de AARON KLEIN, librement traduit depuis WND.com et Sharia Unveiled

I L'explosif secret Huma Abedin 


JERUSALEM, Israël - Avec les nouveaux média, on a maintenant le profil de la femme d'Anthony Weinerde, candidat à la mairie de New York City en 2014. Une partie évidente de l'histoire personnelle de Huma Abedin qui n'est pas dite - ses liens avec les Frères musulmans et d'autres suprémacistes islamiques.

Les connexions non seulement s'étendent à sa mère et son père, profondément attachés au mouvement Al-Qaïda, mais à Abedin elle-même, comme le révèle WND dans une série d'articles.

En dehors des démélés extraconjugaux du mari, à qui elle a pardonné selon ses déclarations, elle est l'élément central de la candidature du politicien.

Le New York Times déclara qu'Abedin était «désireuse de mettre fin à une période difficile» et se veut "un architecte principal de la réhabilitation de son mari, en façonnant son retour calculé".
Certains le prétendent, Abedin essaie de suivre les traces d'Hillary Clinton, dont la fidélité à son mari pendant le scandale Lewinsky a augmenté sa popularité et a fortement contribué à lancer sa carrière politique.

Première conseillère d'Hilary Clinton

Abedin a servi comme chef de cabinet des Clinton, elle a travaillé comme chef de cabinet de Clinton, qu'elle a étroitement servi depuis longtemps.

Elspeth Reeve, de  The Atlantic Wwire, a écrit : "Comme les nombreux profils élogieux de ces derniers mois l'ont fait remarquer, Huma Abedin a beaucoup appris en travaillant comme principale conseillère d'Hilary Clinton depuis les années 1990. Mais peut-être que la plus grande leçon apprise par  Abedin n'est pas seulement la façon d'aider son mari à survivre à un scandale sexuel, mais la façon de lancer sa propre carrière politique".

 Huma Abedin aux côtés de son mari lors d'une conférence de presse. "Je soutiens mon mari, je lui ai pardonné".
Sosie d'Hilary Clinton dans cette démarche: elle ne veut pas perdre toutes ces années pour une histoire sordide.

II Transformer l'Amérique


Les profils d'Abedin dressés par les grands médias rapportent qu'elle est née de parents pakistanais et indien, sans fouiller plus loin dans l'histoire de la famille.

Brièvement, les étapes interessantes de sa biographie:
Elle est née aux Etats-Unis mais est partie à 2 ans en Arabie Saoudite, où elle a grandi.
Abedin est revenue aux États-Unis en provenance d'Arabie saoudite en 1996, pour entrer directement à la Maison Blanche, alors dirigée par Bill Clinton.
Obama a déclaré à son propos qu'elle n'est "rien de moins qu'extraordinaire pour représenter [les Etats-Unis] et les valeurs démocratiques qui nous sont chères".

Obama et Clinton contemplent, hilares, les armoiries des Frères Musulmans
(al-Ikhwan al-Muslimin). 

Dans le même temps, elle est devenue rédactrice en chef adjointe de l'Institut des Affaires des Minorités Musulmanes ainsi que membre du Muslim Students Association (MSA)
Copie d'écran du comité de direction du MSA montrant Huma Abedin comme membre du conseil.
Le MSAest lié directement au djihad international, notamment à al-Qaida et à l'imam Anwar al-Awlaki.

Michele Bachmann l'a désignée comme un exemple de la possible infiltration des Frères musulmans et a demandé aux inspecteurs généraux de la Sécurité intérieure, de la justice et de l'État, d'enquêter à son sujet.

Comme  WND l'a rapporté en août 2012, un manifeste de la monarchie saoudienne donne pouvoir à un Institut qui a employé Huma Abedin et dont le but est d'oeuvrer "au premier rang d'un grand plan" visant à mobiliser les minorités musulmanes américaines afin de transformer l'Amérique en un Etat islamique de type saoudien, selon les déclarations du chercheur arabophone Walid Shoebar.

Abedin a été rédactrice en chef adjointe pendant une douzaine d'années du journal de l'Institut Muslim Minority Affairs. L'institut - fondé par son défunt père et actuellement dirigé par sa mère - est soutenu par la Muslim World League, une organisation dont le siège est à La Mecque et qui a été fondé par les Frères musulmans.

Le manifeste saoudien de 2002 montre que "les affaires de la minorité musulmane" - la mobilisation des communautés musulmanes dans les Etats-Unis afin de répandre l'islam au lieu de s'assimiler à la population - est une stratégie clé dans l'effort permanent d'instaurer un régime islamique en Amérique et une charia mondiale", une loi islamique pour les Temps Modernes.

WND a rapporté qu'Abedin a également été membre du conseil exécutif de l'Association des étudiants musulmans, qui a été identifiée comme étant un groupe de façade des Frères musulmans dans un document de 1991 présenté en preuve lors du procès de financement du terrorisme par la Holy Land Foundation, une pseudo-organisation caritative islamique basée au Texas.

Dans le groupe de réflexion islamique créé par son père et financé par les Saoudiens,  WND rapporte qu'Abedin a travaillé aux côtés d'Abdullah Omar Naseef, qui est accusé de financer al-Qaïda.

Naseef a des liens très étroits avec la famille Abedin.

WND a été le premier à rapporter que  la mère de Huma, Saleha Abedin, est la représentante officielle de l'organisation "teintée de terrorisme" dénommée Muslim World League (MWL) de Naseef dans les années 1990 .

La mère de Huma Abedin, Saleha S. Mahmood
Walid Shoebat a précédemment rapporté que parmi les 63 dirigeantes des Soeurs Musulmanes, la version "femelle" des Frères Musulmans,  Saleha Abedin a servi aux côtés de Najla Mahmoud Ali, la femme de Mohammed Morsi, le président évincé et éphémère d'Egypte [ce que j'avais aussi rapporté dans un de mes 3 posts sur "Obama musulman"].

Shoebat dit que Saleha Abedin et la femme de Morsi étaient toutes les deux membres du directoire des Frères Musulmans.

III Huma a travaillé avec les dirigeants d'al-Qaida

Abdullah Omar Naseef est secrétaire général de la Muslim World League,  une organisation "caritative" islamique connue pour avoir donné naissance à des groupes terroristes, y compris des groupes déclarés par le gouvernement américain comme soutien officiel d'al-Qaida.

L'institut est fondé par le père de Huma Abedin, il est censé être "tranquille", mais actif.
Huma a siégé au Journal du comité de rédaction de l'Institut Muslim Minority Affairs de 2002 à 2008.
Les documents obtenus par Walid Shoebat ont révélé que Naseef a siégé au conseil avec Huma au moins pendant 1 an, de décembre 2002 à décembre 2003.

Le départ soudain de Naseef du conseil en décembre 2003 coïncide avec le moment où divers organismes de bienfaisance dirigés par la Muslim World League de Naseef ont été déclarés illégaux et comme étant des soutiens du terrorisme dans le monde entier, y compris par les Etats-Unis et l'ONU.
La MWL, fondée à La Mecque en 1962, se targue d'être l'une des plus grandes organisations non gouvernementales islamiques.

Selon des documents gouvernementaux américains et des témoignages des propres fonctionnaires de cette "oeuvre de bienfaisance", la MWL est fortement financé par le gouvernement saoudien.
La MWL a été accusée de liens avec le terrorisme, comme le sont ses diverses ramifications, y compris l'International Islamic Relief Organisation (IIRO) et Al Haramain Islamic Foundation, qui ont été déclarées par les Etats-Unis et l'ONU comme un front de financement du terrorisme.

Le Département du Trésor a allégué dans un communiqué de presse de septembre 2004 qu'Al Haramain avait des "liens directs" avec Oussama ben Laden, tout comme l'IIRO et la MWL. Al Haramain est maintenant interdit dans le monde entier par la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU n°1267.
En 1993, ben Laden aurait dit à un de ses associés qui le MWL a été l'un de ses trois principaux organes de financement. Le MWL est accusé de promulguer une "interprétation wahhabiste de l'islam dans le monde entier à travers un vaste réseau d'organismes de bienfaisance et des organisations affiliées".

Le MWL en 1988 a fondé l'Al Haramain Islamic Foundation, qui a développé des beanches dans 50 pays environ, y compris dans l'Oregon jusqu'à ce qu'il soit désigné comme une organisation terroriste.

Au début des années 1990, la preuve a commencé à croître que la fondation avait financé des militants islamistes en Somalie et en Bosnie, et un rapport de la CIA de 1996 détaille ses liens militants avec les Bosniaques.
Les bureaux du Trésor américain ont désigné Al Haramain au Kenya et en Tanzanie comme responsable de la planification et du financement des attentats de 1998 contre deux ambassades américaines en Afrique de l'Est. Le bureau des Comores a également été désigné pour avoir "été utilisé comme une zone de transit et voie d'exfiltration pour les auteurs des attentats de 1998."

Le New York Times a rapporté en 2003 que Al Haramain  Islamic Foundation a fourni des fonds au groupe terroriste indonésien Jemaah Islamiyah, qui était responsable des attentats de Bali en 2002 qui ont tué 202 personnes.
En Février 2004, le département américain du Trésor a gelé les actifs financiers de toutes les branches Al Haramain dans l'attente d'une enquête, ce qui a conduit le gouvernement saoudien à dissoudre le groupe et à le fondre dans une autre organisation, la Saudi National Commission for Relief and Charity Work Abroad.
En Juin 2008, le département du Trésor a appliqué la désignation de terroriste à l'ensemble des branches d'Al-Haramain .

IV Le beau-frère de ben Laden


En Août 2006, le Département du Trésor a également désigné les succursales philippines et indonésiennes de l'IIRO et du MWL comme entités terroristes "visant à faciliter la collecte de fonds pour al-Qaïda et les groupes terroristes affiliés".

Le département du Trésor a ajouté: "Abd Al Hamid Sulaiman Al-Mujil, un officiel de haut rang de l'IIRO [directeur exécutif de la Direction générale de la province de l'Est] en Arabie Saoudite, a utilisé sa position pour financer le réseau al-Qaida en Asie du Sud-Est. Al-Mujil a une longue histoire de soutient à des groupes islamistes, et il a maintenu une cellule de bailleurs de fonds réguliers au Moyen-Orient qui soutiennent les causes extrémistes".

Dans les années 1980, Mohammed Jamal Khalifa, beau-frère d'Oussama ben Laden, a couru les bureaux de l'IIRO Philippines pour récolter des fonds. Khalifa a été lié à des comploteurs basés à Manille pour cibler le Pape et les compagnies aériennes américaines.

L'IIRO a également été accusé d'avoir financé le Hamas, les radicaux algériens, les bases de militants en Afghanistan et le groupe terroriste égyptien Al-Jamaa al-Islamiyya.

Le New York Post a rapporté que les familles de victimes du 11//09/2001 ont déposé une plainte contre l'IIRO et d'autres organisations musulmanes pour avoir "joué un rôle clé en matière de blanchiment de fonds destinés aux terroristes dans les attentats de 1998 contre l'ambassade d'Afrique" et pour avoir été impliqué dans le financement et  la complicité de terrorisme dans le bombardement du World Trade Center de 1993".

V Le "Front de gouvernement saoudien"


Dans un procès au Canada, Arafat El-Asahi, le directeur canadien à la fois de l'IIRO et de la MWL a admis que ces organismes de bienfaisance sont des entités du gouvernement saoudien.

El-Asahi a déclaré: "La Ligue islamique mondiale, qui est la mère de l'IIRO, est un organisme entièrement financé par le gouvernement saoudien. En d'autres termes, je travaille pour le gouvernement d'Arabie Saoudite".
"Ensuite, a-t-il dit, l'IIRO est une branche de cette organisation, ce qui signifie que nous sommes contrôlés dans toutes nos activités et nos plans par le gouvernement de l'Arabie saoudite".
Malgré ses ramifications qui sont impliquées dans le financement du terrorisme, le gouvernement américain n'a jamais désigné la MWL lui-même comme un "organisme de bienfaisance" financier du terrorisme.

[Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Obama a facilité les formalités d'entrée aux USA pour les ressortissants saoudiens et il a démoli le plan de protection intérieure mis en place après le 11 septembre].

VI La mère de Huma représente la Ligue Islamique Mondiale (MWL)


Saleha Abedin a été citée dans de nombreux articles de presse à la fois comme représentante de la MWL et en tant que délégué pour les oeuvres de charité.

En 1995, le Washington Times a rapporté qu'une conférence de femmes a été organisée par l'ONU à Pékin pour lancer un appel aux gouvernements à travers le monde pour donner aux femmes l'égalité avec les hommes dans le monde de travail. Le rapport a cité Saleha Abedin, qui a assisté à la conférence en tant que déléguée, comme "représentant également la Muslim World League basée en Arabie saoudite et les ONG musulmanes du Caucuse".

Dans les comptes-rendus de l'ONU (sur ses websites), Abedin mère a été inscrite sous le nom de  Dr Saleha Mahmood, directrice de l'Institute of Muslim Minority Affairs".

WND a confirmé que la personne inscrite est la mère de Huma Abedin. Les rapports ont en partie mal orthographié le nom Abedin. Son nom "professionnel" complet est Saleha Mahmood Abedin S.

VII Les louanges d'Hillary


Saleha Mahmood a dirigé l'Institut Muslim Minority Affairs au Royaume-Uni et a servi en tant que déléguée de la Muslim World League, dont ben Laden aurait dit qu'il était un de ses plus importants fronts de financement.

En Février 2010, Hilary Clinton a parlé au Collège Dar Al-Hekma à Djeddah, en Arabie saoudite, où Abedin exerce comme professeur agrégé de sociologie. Clinton, après qu'elle ait été introduite par Abedin mère, a salué le travail de cette prof liée au terrorisme:

"Je dois dire un mot spécial sur le Dr Saleha Abedin", a déclaré Mme Clinton. "Vous avez entendu la présentation très interessante des partenariats qui ont ouvert la voie entre les collèges et universités des États-Unis et ce collège. C'est un travail de pionnier que de créer ces types de relations.

Mais je dois avouer quelque chose que le Dr Abedin n'a pas, c'est que j'ai presque un lien familial avec cette université. La fille du Dr Abedin, l'une de ses trois filles, est mon chef de cabinet adjoint, Huma Abedin, elle a commencé à travailler pour moi quand elle était étudiante à l'Université George Washington à Washington, DC."

VIII Huma l'infiltrée


Dans une interview extraordinaire, Walid présente Huma Abedin comme une infiltrée potentielle dans le Département d'Etat, une infiltrée qui a accès à des informations sensibles.



Il s'agit d'une fantastique interview qui va dans le détail et en profondeur sur la tromperie du djihad furtif contre lequel nous sommes confrontés en tant que nation. La "guerre contre le terrorisme" n'est pas une menace aussi importante parce que nous sommes très vigilants dans ce domaine mais la menace d'une cinquième colonne islamique qui infiltre notre gouvernement, notre armée, le FBI, la CIA et tous les domaines de l'énergie afin de nous détruire de l'intérieur, mais nos principaux médias et notre gouvernement ne sont pas conscients de cette menace et nous n'avons pas de vigilance pour contrecarrer cela. Pour autant, nous savons que nous sommes la seule organisation qui fait de la recherche sur ces affaires pour avertir l'Amérique de ce très gros problème, beaucoup plus grand que tout ce qu'on peut imaginer.

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Ce (très) long article nous fait entrevoir l'infiltration musulmane dans les rouages de l'Etat américain, il ne montre pourtant que la partie émergée de l'iceberg islamique, ne serait-ce que parce que les associations musulmanes citées sont très minoritaires aux Etats-Unis en comparaison du Council on American-Islamic Relations (CAIR), de l'Islamic Society of North America (ISNA), de l'American-Arab Anti-Discrimination Committee et de la Muslim American Society, même si la plupart ont depuis été interdites. Interdites, mais d'autres les ont remplacées, qui ont aussi provisoirement pignon sur rue. En attendant qu'on découvre leurs liens ...

 Et en Europe? Il ne faut pas se leurrer, avec les traîtres qui n'en finissent pas en courbettes face aux émirs, l'Europe n'est pas mieux préservée. Le fait est que les affaires ne sortent pas encore, mais les mécanismes d'Etat sont tous infiltrés et gangrénés, y compris les plus sensibles. Discrimination positive oblige ... mais les raisons ne tiennent pas quà cette mode.

En france, les organisations musulmanes de même type sont aussi bien présentes, financées par les pays étrangers: le Rassemblement des musulmans de France (Maroc), la Fédération nationale des musulmans de France, (Maroc), la Grande Mosquées de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (Moyen-Orient et Freères musulmans) et divers autres, sous influence turque, malienne, sénégalaise, etc. Malgré cela, on continue à parler d'islam de France.

Et il y a aussi le CCIF, le Collectif Contre l'Islamophobie en France. Un nom et un sigle pas innocents, remplis de symboles détectables facilement par les musulmans. Tout au long de cet article, à chaque fois qu'il a été question d'organisation terroriste cachée sous des raisons caritatives, j'ai pensé au CCIF. Je lui trouve beaucoup de points communs avec ces associations aujourd'hui presques toutes interdites aux USA pour diverses activités liées au terrorisme. C'est peut-être le F de leur sigle, qui ressemble (pas étrangement mais volontairement) au ccif (sabre) du drapeau saoudien, qui doit probablement me donner cette mauvaise impression.


S'il fallait une conclusion, pour moi, elle est dans cette phrase:
"Nos principaux médias et notre gouvernement ne sont pas conscients de cette menace et nous n'avons pas de vigilance pour contrecarrer cela".  Des 2 côtés de l'Atlantique, le problème reste non résolu, et pour un bon moment, semble-t-il, le temps qui passe ne faisant qu'aggraver la situation.

Mes autres posts sur Obama, les USA et l'islam:
- Obama: "Je suis musulman" 1/3
Obama: "Je suis musulman" 2/3
Obama: "Je suis musulman" 3/3
Obama recherche le soutien spirituel des mosquées
Obama veut-il aider à restaurer l'empire ottoman?
- Dearborn, Michigan, capitale islamique des Etats-Unis

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